Même si la FSU condamne toute forme de violence, et ne cautionne en aucune façon les violences physiques exercées contre les personnes, elle souhaite rappeler que la violence sociale exercée quotidiennement contre les salariés est inacceptable et est le fait des politiques menées contre les salariés, politiques qui visent d’abord le profit des actionnaires et du patronat. Cela devrait appeler l’attention des médias et des représentants élus au moins à la même hauteur que cette réaction d’indignation de personnes que l’on licencie ! On ne peut par ailleurs dédouaner la direction du groupe de ses responsabilités, qui, par une pratique du « dialogue social » désastreuse, a cherché à opposer les catégories entre elles.